29 avril 2024
Si l’abeille domestique est bien une composante de la biodiversité, il serait néanmoins erroné d’en faire un emblème pour alerter sur l’érosion du vivant et notamment des pollinisateurs. Papillons, mouches, scarabées et abeilles solitaires sont autant d’insectes méconnus qui contribuent dans l’ombre à la pollinisation. En comparaison aux 950 espèces d’abeilles sauvages également présentes en France métropolitaine, l’abeille domestique ne représente donc qu’une infime fraction de cette biodiversité indispensable à la reproduction des plantes et à notre alimentation. Plus encore, là où elle est artificiellement installée, cette dernière peut rentrer en compétition avec les espèces sauvages.
Programme
- Concepts fondamentaux, Hemminki Johan, chargé d’étude et naturaliste, ARB îdF
Présentation - Agir en faveur des pollinisateurs sauvages, Hugues Mouret, directeur scientifique, Arthropologia
Présentation - Premiers enseignements du programme inter-parcs francilien sur les pollinisateurs sauvages, Serge Gadoum, Entomologiste, OPIE
Présentation - Retour d’expérience de la collectivité de Génainville (95), Christiane Walter, adjointe au Maire en charge de l’environnement, Genainville
Présentation



