Schéma régional des continuités écologiques : la trame boisée
Bien que près d’un quart de son territoire soit boisé, l’Île-de-France n’est pas une terre de bocage, mais d’openfield, constituée de grandes parcelles de cultures dénuées d’arbres et de haies. Les connexions boisées entre massifs forestiers y sont donc limitées.
L'intérêt de corridors boisés a été démontré par de nombreux travaux, en particulier, en France, ceux de Françoise Burel et de Jacques Baudry. Ces connexions continues sont nécessaires à la survie de certaines populations de reptiles (par exemple, la Vipère péliade), mais, plus généralement, elles le sont aussi pour des espèces volantes, à faible dispersion (par exemple, les insectes xylophages).
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Aménagement et territoires | 
                
                    
                    Environnement urbain et rural | 
                
                    
                    Milieux naturels | 
                
                    
                    Île-de-France 2030




